Dur, dur n'est-ce pas ?
Un beau jour on se réveille. On se dit : ça y est j'ai réussi! Je suis fort(e) maintenant. On se sent mieux... se dit que ça y est le bout du tunnel arrive, voilà que les petits problèmes se règlent doucement mais sûrement. Puis quelques semaines plus tard on décide de prendre encore plus de responsabilités qu'on en avait déjà. On se sent prêt à assumer. Et là tout s'écroule. Le peu de stabilité qu'on avait acquis, qu'on avait réussi à mettre de côté dans un coin de notre âme, se retrouve mis en péril. On fait très bien face à la situation, gère parfaitement les évenements, mais quelque chose cloche...On se sent mal, déorienté, on se sent perdu.
Finalement on se dit que peut-être qu'on était pas prêt(e), pas assez fort(e) pour assumer ces responsabilités.
Alors...que faire ? risquer de perdre le peu de stabilité qu'on avait savament sauvgardé et faire face à nos engagements ? Ou plutôt s'excuser et ne pas poursuivre l'act qui a provoquer ce nouveau trouble ?
Quand on est dans un état doté d'une stabilité vacillante, ne vaut-il mieux pas partir et se protéger, quand on sent que malgré les concessions, la force qu'on pourrait engager, on ne pourrait pas faire face à ces lourdes responsabilités ?
Finalement on se dit que peut-être qu'on était pas prêt(e), pas assez fort(e) pour assumer ces responsabilités.
Alors...que faire ? risquer de perdre le peu de stabilité qu'on avait savament sauvgardé et faire face à nos engagements ? Ou plutôt s'excuser et ne pas poursuivre l'act qui a provoquer ce nouveau trouble ?
Quand on est dans un état doté d'une stabilité vacillante, ne vaut-il mieux pas partir et se protéger, quand on sent que malgré les concessions, la force qu'on pourrait engager, on ne pourrait pas faire face à ces lourdes responsabilités ?