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Lieu : Genève, Switzerland

vendredi, janvier 27, 2006

All at sea - Ces moments si précieux -

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All at Sea
( Jamie Cullum )

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I’m all at sea
Where no one can bother me
Forgot my roots
If only for a day
Just me and my thoughts
Sailing far away
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Like a warm drink it seeps into my soul
Please just leave me right here on my own
Later on you could spend some time with me
If you want to, all at sea
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Parfois, dans la vie, sans qu'on sache pour quelle(s) raison(s), on a besoin de se retrouver seul. Pour faire ces petites choses qu'on aime faire seul. Pour écrire peut-être, ou encore pour regarder quelques vieilles photos. Peut-être pour chanter, pour composer, ou encore pour essayer de construire ces accords qui rende si compliqué ce qu'il suffit juste d'entendre, de comprendre du fin fond de son cœur.
Je parle de ces fins de journées, où la seule chose qu'on ait envie, c'est de se poser au bord d'une rivière, sur une colline ou devant un rayon de cd d'un vieux magasin poussiéreux pleins de mystère et de découvertes magiques. Je parle de ce sentiment de vide que l'on peut ressentir à tout moment d'une vie; suite à un rêve qu'on sent s'approcher mais qu'on a peur d'affronter, suite à une semaine passé à côtoyer des gens dont les mentalités ne s'accordent pas forcément aux nôtres, ces semaines qui nous remplissent tellement d'information qu'on devient asocial.

Que faire dans ces moments là ? Quand les gens que vous aimez ne comprenne pas forcément, que vous n'êtes pas retombé au fond du gouffre, mais que tout simplement la vie est la vie et que de ce fait elle est complexe et que tout simplement, vous avez besoin de ce moment, cet espace qu'on vous a volé.
Une vie est vite écrite, mais compliqué à comprendre et à appliquer. Et pour tendre au but qu'est de la comprendre et d'en appliquer les principes qu'on a choisit, il faut parfois se poser quelque part, au bord d'une mer ou d'un lac par exemple, de regarder au loin, jusqu'à ce que nos idées se perdent sous la force de l'horizon et de chercher la réponse à ces questionnements si longs et intenses qui nous bousculent tout au long de ces derniers jours.

Ces moments ne sont pas signe de détresse, en tout cas pas toujours, ils sont signent de recherche, de resourcement et parfois de bonheur. Car, existe-il quelque chose de mieux que de s'assoir au bord de l'eau et d'écouter une belle voix fredonner et pianotter cet air qui nous aide à trouve la réponse ?


Paroles de All at sea ( Jamie Cullum )

samedi, janvier 21, 2006

I get a kick out of you...

Quand je vous disais que 2006 serait une bonne année…Hey ben jusque là, ça commence bien ! Ce soir, au menu nous avions le show de JAMIE CULLUM !


Et mon dieu quel concert ! Ce mec est un géni, il joue sur scène comme si il faisait la lessive ou qu’il marchait dans la rue, avec toute simplicité ! Il n’est pas la star et nous les cons qui avons payé pour le voire. Non, lui c’est le musicien qui joue avec son âme et nous sommes les témoins de ses mémoires. Je ne dis pas ça parce que je suis, et certainement plus que jamais, atteinte de concerite-aiguë, je dis ça parce que c’est vrai.

Jamie est arrivé avec quelques minutes de retard (une dizaine, je dirais), avec son verre de vin à la main, il nous a regardés et il a joué. Puis il a papoté avec nous, nous a dit qu’il trouvait la ville de Genève magnifique et que même si il vit à Londres il la trouve cher, que nos café sont délicieux et qu’il est heureux de jouer ici pour la première fois (les concerts précédents étaient dans d’autres villes suisse). Puis il recommence à mettre le feu au Grand Casino, il chante, saute, bat le rythme, rigole, nous fait rire, il nous parle et chante un peu en français, bref il s’éclate et ça se sent ! Il emporte le publique avec lui, et spécialement moi, il m’a mit au fond du ventre ces petits papillons que j’aime temps, les a fait volé puis m’a donné 6 bisous que je ne suis pas prête d’oublier ! Il s’éclate en reprenant divers hits actuel, dont One Thing d’Amerie. Ce mec a du talent, il réussit à transformer une chanson des plus commercialement trafiqué (la dite « One Thing ») en une chanson aux touches jazzy qu’on croirait sortie du fin fond d’une cave de vrai musicien.


Puis viennent les solos de ces musiciens, c’est son batteur qui ouvre le rythme en tapant tout ce qui fait la scène ; sa batterie, les micros, le sol, le synthé, le tabouret, le piano, tout y passe et mon dieu quel talent ! Pendant ce temps, Jamie, en toute simplicité, prend son verre de vin et va se poser dans un coin de la scène, puis rejoint le contrebassiste qui prend des photos, lui dit quelque chose et 2min après on les voit déplacer la contrebasse et le micro de Jamie pour aller se poser dans la salle et nous jouer un morceau. Je crois que je n’ai jamais eu autant de chance de ma vie, car Jamie et son superbe contrebassiste sont venus élire domicile musical au bout de ma rangé, là à 4sièges de moi ! Moi tout excité, j’essaie de passer pour aller m’assoir à côté de lui et finir d’écouter le sublime solo du batteur, mais je fais preuve de sagesse et politesse et ne pousse pas les gens assis à mes côtés. Puis le gentil monsieur à côté de moi me demande si je veux aller à côté de Jamie et moi bien sûr, JE FONCE ! Et me voilà à 50 cm de Jamie Cullum et son contrebassiste, reprenant une sublime chanson de Nat King Cole, Nature Boy.

Je n’en crois pas mes yeux, Jamie est là à quelques centimètres de moi, de nous et joue de la musique dans une de ses plus simples manières, une voix une contrebasse, une magnifique chanson chanté par un charmant jeune homme et joué par mon instrument préféré. Non, je ne réalise pas, je vais forcément me réveiller. Quand soudain, il lève la tête, me regarde dans le blanc des yeux, me souris et le tout en chantant cette superbe chanson. Là, je me suis dit « C’est bon, je peux mourir, j’ai passé une sublime après-midi avec mon Amoureux et là, ce soir, Jamie est là et chante en me regardant…J’ai vécu, enfin ».
Puis la chanson et fini, et je lui tends la main, il la prend me regarde et me fait la bise. Wouahou c’est incroyable, je suis aux anges.

Le concert de fini, avec un Jamie, un groupe et un publique déchaîné. Ça c’est du concert !

Quelques minutes plus tard, je me retrouve dehors, à l’entrée des artistes à attendre avec Koala, mon Amoureux nous a rejoints également. Les musiciens du groupe défilent, signent des autographes et nous disent que Jamie arrive. Et effectivement il arrive !
Il me signe mes deux albums (Twentysomething et Catching Tales), mon iPod et prend une photo avec Koala et moi, puis je lui di
s que le show était magnifique, que c’était moi à côté de la contrebasse, il me dit « yeah, I remember » puis je lui dis que je peux mourir maintenant, que j’ai vécu le plus beau jour de ma vie et là il rigole et me réponds « I hope you won’t ». Puis on lui souhaite un bon voyage and a good night, il répond « yeah bonne nuit » avec un accent irrésistible, on reste encore un peu à le regarder signer, poser et discuter avec toute simplicité et après avoir signé, posé et papoter avec tout le monde il s’éloigne vers son camion, comme ça en toute simplicité. Et il a accepté mon CD.

Je rêve encore…
Je suis heureuse…
Que c’est bon…
D’aller s’endormir…
En ayant passé…
Une magnifique soirée…
A écouter…

De la vraie musique !

On est pas mignon tout les trois ??


PS : J'ai eu 6bisous, une chanson en me regardant dans les yeux, deux albums dédicassés, mon iPod dédicassé et une photo...que demander de plus ???

jeudi, janvier 19, 2006

Après l'euphorie du futur, la dure réalité du présent

Après m'être accordé ma petite heure (qui enfaite en faisait 2) de répits que j'ai passé à rêvasser de l'état d'euphorie que je vais atteindre demain soir (voir note précédente), j'ai dû revenir à la dure réalité du présent que sont ces p*tain de semestrielles. J'ai donc passé tout mon après-midi à rattraper le boulot en anglais que j'avais omis de faire durant les derniers 3mois (ouais je sais c'est mal mais si vous aviez vu tout le boulot que j'avais à faire...fallait vraiment pas en rajouter !). Quand j'ai vu défiler le superlatif, le comparatif (et en double hein, on n’omet pas d'apprendre la version d'infériorité et de supériorité de ces sujets !) je me suis dite "bon ça va je ne suis pas si larguée que ça, c'est de la révision du cycle" et pareil pour les pronoms relatifs et les articles ! J'ai donc estimé, vu le haut niveau que je métrise (mennnnteuuuuse), que j'avais le droit de m'octroyer une bonne pause au tour d'un café bien noir, histoire d'ouvrir définitivement ses paupières qui se ferment toutes seules. Et bien j'avais tord, parce qu'après cette jolie pause, je me suis mise au vrai sujet de ma semestrielle d'anglais, le sujet qui fâche, qui fait peur. Le sujet qu'on redoute tellement, qu'on se dit qu'on va d'abord travailler le petit boulot tout simple et ensuite s'atteler aux vrais problèmes; les temps des verbes. Bon je vous l'accord, c'est bien simple d'apprendre par-cœur que le past simple c'est du passé bel et bien fini, que le present perfect continous c'est ce qui c'est passé à un moment précis dans le passer, etc. Mais quand tout ces temps du passé se voient être mélanger dans un immense texte plein de trou que vous devez remplir, ça devient la merde ! Le gros caca, celui de constipé, pas celui du petit oiseau tout élégant qui fait tout son possible pour aller aux selles sans se salir les plumes. Non, quand ces temps sont mélangés tu passes TA JOURNEE à essayer de trouver une logique à tout cela ! Et quand, en plus, le demi litre de café noir que tu as bu pour persuader tes yeux de rester ouvert agis aussi bien qui si tu avais absorber des somnifères, c'est vraiment d'une difficulté digne d'un sudoku de niveau 4/4 du matin bleu que tu essaierais de faire à 6h du mat'.
Voilà ce que j'ai fait toute la journée; réfléchir pour arriver à un résultat décevant. Et là, j'ABANDONNE, parce qu’y en a marre et que peut-être, par un miracle des plus miraculeux, demain je me réveillerais et tout sera clair dans ma tête. Parce que j'ai beau me shooter au Tonoglutal, ce n'est certes plus l'orage, mais c'est toujours la brume.


Quand j'ai enfin décidé d'accepter l'idée que ma semestrielle d'anglais, contrairement aux habitudes, ne se passerait pas comme sur des roulettes, je suis allée prendre une bonne douche bien mérité et là Jamie a fait sont retour. Dans mes pensées bien sûr (vous être qu'une sale bande de vicieux)! Et pour ne pas changer les bonnes vieilles traditions sophiastique qui veut que la douche soit un moment de questionnement sur soi-même, j'ai commencé à questionner mon moi intérieur. Je me suis d'abord demandé quelle serait mon attitude demain soir ? Est-ce que la groupie de mes 9ans va-t-elle refaire surface ? Aucune idée. Seul ma Koala connaîtra la vérité à ce sujet, comptez pas sur moi pour vous dire que si j’ai agis ou pas comme je l'aurais fait du temps de mes 8ans où pour moi la bonne musique c'était les Spice Girls (on fait tous des erreurs de jugement...). Non je me garde ce petit secret pour moi et ma Koala, et n’essayez surtout pas de la corrompre, ou je me vengerais Niark Niark.
Puis, mon imagination c'est mise à penser à mon enfance et ma préadolescence passé. Et je me suis rendue compte d'une chose; quand j'avais 8-9ans j'agissais comme une groupie préadolescente le fait à 12-13ans, et quand j'ai eu l'âge classique du dit groupillage, je me suis mise à agir comme une ado de 15ans, je suis tombée amoureuse et j'ai cru que Le Filou était l'homme de ma vie, que je finirais mes jours à ces côtés. A ce moment là, je me suis demandée; si avant j'agissais comme une personne plus vieille que j'étais censée l'être selon ma date de naissance, est-ce qu'aujourd'hui j'agis encore de cette manière ? Et si oui, quel âge font mes attitudes ?
Là, j'ai vraiment eu peur, je n'ai aucunement envie de vivre mes 17ans comme vivrais ces 20ans une jeune universitaire, non moi ce dont j'ai envie aujourd'hui c'est de vivre le moment présent avec l'attitude qui correspond à celle de mes 17ans. Mais finalement, est-ce que notre année de naissance, celle qui est gravé dans des millions de dossiers de diverses administrations de l'état, a vraiment de l'importance ? Doit-on vraiment agir selon un simple alignement de chiffre ?

My God…I wanna be a Pop star


Ca y est, le décompte est lancé J-1 et quelques heures avant que je me retrouve devant le prodige du “nu jazz” en baskets, Jamie Cullum.
Décidément l’année commence plutôt bien ! Quoi de mieux que de commencer cette très chère 2006 qu’avec un concert d’un de mes musiciens préférés qui joue du jazz et qui se dégaine comme un rockeur ? Tenez-vous éloigner de moi durant les prochaines semaines, car je vais être atteinte de la concerite-aiguë, maladie rendant hystérique et sauteur tel un kangourou australien ayant les fesses en feu…et je crois que ça a déjà commencé !


Trêve de plaisanterie, en tant que jeune fille bien élevée, j’ai des principes que je me dois de suivre à la règle, comme ne pas me coucher avant minuit durant le week-end, dépenser tout mes p’tits sous en album digne de ce nom, ne louper aucun épisode de LOST et de Sex and The City, faire mes devoirs, bien bosser en cours et suivre à la lettre le programme de révision des classiques et moins classique avant de me rendre à un concert.
J’ai donc mis à la lettre, depuis une semaine environ, ce dernier principe qui est un de mes favoris. Et je suis prête ! Faites balancer la sono ! Amenez le piano, la batterie, la contrebasse et le micro ! Je suis parée à l’écoute !

Jamie, fait pété les décibels, j'arrive !

lundi, janvier 16, 2006

Disco Fever // When I like Apple...

Depuis quelques jours la fièvre du samedi soir et ses bons vieux airs disco on prit possession de moi ! Attention, bientôt je vais accrocher une boule à facette au plafond, transformer le parquet en verre noir et sortir acheter une robe à paillette ! Diana Ross et Donna Summer n'ont qu’à bien se tenir !!

D'un autre côté, c'est une pomme qui attire les faveurs de mes douces petites oreilles. Mademoiselle Fiona Apple a également pris possession de moi. Elle est passée de la place N° 8 à la troisième place de ma mini tour CD. Et croyez moi, c'est vraiment un gros compliment de ma part !
Cette artiste, me prend au ventre, me fait redécouvrir la musique...j'aime le côté intimiste de ses textes. Quand j'écoute son premier album, Tidal, c'est comme si j'entrais dans sa tête, que je ressentais toute sa douleur. Pour moi, un artiste qui réussi à faire procurer ces émotions, est un artiste sensible et vrai. En aucun cas du préfabriqué.
CLAP CLAP FIONA !!


PS : vous m'expliquez pourquoi le Filou me balance comme ça, juste avant de se tirer, qu'il est retourné avec sa copine ??? J'veux des détails moi !!

PS2: Petite note sans intérêt, mais bon vous connaissez mes petits doigts... (Vous êtes déçu hein ? je parle pas de PlayStation :P)

lundi, janvier 09, 2006

Extraordinary Apple


Fiona Apple, c'est une artiste au talent incomparable que j'ai découverte grâce à son histoire qui m'a interpellée et qui m'a rendue curieuse... (lisez, même en survolant, sinon vous ne comprendrez pas) Pourquoi donc "pas assez commercial" ?
.Je crois que vous commencez à me connaitre...j'aime les artistes talentueux comme Fiona. Depuis cette rencontre, je suis sous le charme de cette belle Apple, j'ai acheté ses albums, visité quelques sites web, cherché quelques forums, j'en ai trouvé...pour la plupart anglophone...hier soir, sur un coup de tête mûrement réfléchis, j'ai pris mon courage à deux mains et ais créé Extraordinary Apple, un forum francophone pour parler du talent de Fiona.
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J'aimerais beaucoups que vous veniez faire un tour, ne serait-ce que pour jeter un coup d'oeil. Je n'oserais quand-même pas vous forcez à rester...

Extraordinary Apple

.enjoymusic.

samedi, janvier 07, 2006

Fallin in love...again

Retrouver ses bras, la douce sensation que procurent ses lèves quand elles caressent mes joues et mes lèves, retrouver la sensation d'être aimée....

Je retrouve ma moitié, redécouvre l'Unplugged de Maxwell et apprends qu'Alicia est de retour en studio....que demander de plus ?

(¸.·´¯`>>Maxwell - This Woman's work«.¸.·´¯)

I know you have a little life in you yet

I know you have a little strength left
I know you have a little life in you yet
I know you have a little strength left

I should be crying but I just can't let it show
I should be hoping but I can't stop thinking
Of all the things we should've said that were never said
All the things we should've done that we never did
All the things that you needed from me
All the things that that you wanted from me
All the things I should of given but I didn't
Oh darling make it go away
Just make it go away now.

(¸.·´¯`>>Maxwell - Whenever, Wherever, Whatever«.¸.·´¯)
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Lead me on girl if you must
Take my heart and my love
Take of me all that you want
And if there's a thing that you need
I'd give you the breath that I breathe
N' if ever you yearn for the love in me
Whenever Wherever Whatever

Wish I knew if I could
Be the one that you would
Love forever n' a day baby

And if there's a thing that you need
For you n' your blood I would bleed
N' if ever you yearn for the love in me
Whenever Wherever Whatever

And if there's a thing that you need
I'd give you the breath that I breathe
N' if ever you yearn for the love in me
Whenever Wherever Whatever



(¸.·´¯`>>Maxwell - Ascension«.¸.·´¯)

It happened the moment, when you were revealed
'Cause you were a dream
That you should not have been

A fantasy real
You gave me this beating baby
This rhythm inside

And you made me feel good and feel nice and feel loved

Give me paradise


So shouldn't I realize

You're the highest of the high

If you don't know, then I'll say it

So don't ever wonder


So tell me how long

How long it's gonna take until you speak, babe

'Cause I can't live my life

Without you here by my side

Ooh...

You gave me the feelin', feelin' in my life

jeudi, janvier 05, 2006

La vie c'est comme le solfège

La vie c'est un grand huit, je pourrais même dire un immense huit. Il y a les hauts, les bas, il y a les bonnes, les mauvaises choses, il y a le malheur, le bonheur, il y a le doute, l'anxiété, la peur de se tromper de voix, de style de vie ou de penser. L'être humain vibre au son de certain accord mais ne s'accorde pas forcément bien avec, voilà donc pourquoi c'est si difficile de trouver son chemin parmi toutes ces notes, ces symphonies, ces concertos, parmi tous ces accords.

La vie c'est comme le solfège; au début on le trouve chiant, pénible. Assis sur nos blanc à jouer les rebelles ou les élèves modèle, on attend que Noël ou notre anniversaire arrive, on attend que le temps passe, pour être adulte, vivre notre vie comme on veut, boire, faire l'amour, partir en vacance quand bon nous semble et de préférence au bout du monde. Quelle belle désillusion quand on arrive à l'âge tant désiré. Mince, on n’avait pas pensé aux impôts, à l'alcoolémie, au sida, à toutes ces responsabilités. Il commence bien le solfège de notre vie ! Puis viens le jour où l'on se lève un matin et on est heureux. Tout simplement heureux. Peu importe, qu'il y ait des poubelles à sortir, les gosses à emmener en cours ou les factures à payer, on est HEU-REUX. Et là on se dit que la vie, c'est plutôt cool. Et le résultat est beau, même magnifique, on se dit qu'on a enfin composé la symphonie de notre vie, le bilan de toutes ces années à apprendre, à réciter ces tierces, ces quintes, ces sixtes. On est fière de notre belle symphonie et on se dit que, finalement, ces cours ennuyeux étaient sympas.

La vie c'est comme le solfège, chiant à apprendre mais super à vivre. Au début, on est soulé, on a peur de tout louper de ne pas réussir à faire entendre sa voix, puis on saute, on se lance...et soit on se casse la gueule, soit on devient cette personne heureuse qui a réussi la symphonie de sa vie.

mardi, janvier 03, 2006

Believe in... ? Or not ? That's the question !

On a tous ses propres rêves. Que l'on veuille ou pas les réaliser, peut importe. Pour une certaine partie de la terre, un rêve est un endroit où s’évader du trin-trin quotidien, un endroit où vivre une vie étoilée ou de voire des choses magnifiques, pour eux le rêve est souvent quelque chose que l’on ne veut ou peux pas réaliser. Pour d’autre, dont moi, un rêve c'est sacré, c’est une destinée. Pour moi réaliser mon rêve, serait la plus belle chose au monde.


Quand un jour on se lève, on décide d'enfin prendre son destin en main et se donner une voir plusieurs chances de réaliser son rêve, on a peur, on a les yeux pleins d'espoir, de magie, de crainte, on a le cœur qui bat à mille à l'heure, on redoute que tout aille mal, qu'on ratte tout et que notre rêve n'était, malheureusement, pas notre destinée. Mais peu importe, on se donne cette chance pour ne pas avoir le regret, le "et si" qui ressurgirait à chaque fois que l'on verrait quelqu'un qui avait le même rêve que nous et qui l'aurait réalisé.
Mais quand les gens qui disent vous soutenir dans vos démarches vous semblent retissant, que faire ? Peut-être on-t-il peur que cette chose qui vous fait vibrer vous éloigne d'elle, peut-être est-ce tout simplement de la jalousie, ou de l'inquiétude, l'inquiétude que notre petite bulle étoilée s'écroule en une seconde ? Alors doit-on abandonné pour le simple prétexte que l'autre est retissant ?

3 jours, beaucoups de changements

Voilà, 3jours en 2006 et beaucoups de choses changent !

Beaucoups diront que le passage d'une année à l'autre n'est qu'un détail, que le 31 décembre et le 1er janvier ne sont que de simple journée comme les autres, personnellement je ne pense pas cela.
Si des années existent c'est n'est pas pour rien; pour qu'on puisse fêter les anniversaires, et toutes ces fêtes qui nous apportent pleins de cadeauuuuuux (oui, oui de l'amour, de la gentillesse et de la générosité aussi). C'est pour cela que j'aime les nouvelles années.
2005 a, sur de nombreux points, été une année de merde pour moi (avec, heureusement, plusieurs beaux début d'histoires d'amour) et c'est pour ça que je suis contente de l'avoir quitté ! Rien que le fait que cette année est finie ça me donne envie de danser ! De plus que 2006 s'annonce bien ! J'viens de passer 3 jours à faire pleines de choses que j'aime, c'est-à-dire; écrire, chanter, danser, j'ai reçu 3 albums qui manquaient à ma discothèque, j'ai passé un peu de temps avec mon amoureux et j'ai même travaillé ! J'me suis aussi rendue compte de pas mal de choses et j'ai comme l'impression que le fardeau que je portais c'est allégé, comme si je l'avais laissé derrière moi...avec 2005.

J'abandonne 2005 sans regret et attaque 2006 avec pleins d'espoirs !


Désolée pour cette note sans grand intérêt, mais mes petits doigts aiment tellement le toucher de mon vieux clavier tout gris...

dimanche, janvier 01, 2006

Happy New Year

Ahhhhh que ça fait du biennnn ! Enfin une nouvelle année ! Enfin, l'apparition de l'espoir qui me dit que 2006 ne peut être que meilleure que 2005 ! Alors mes très cher lecteurs;

BONNE ANNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

J'vous souhaite tout ce qu'il y a de meilleure sur cette terre et que tout vos désirs deviennent réalité !

J'ai réussi mon pari ! Une soirée entière en FILLE, oui j'ai bien dit en fille !! Bon, j'ai quand même fait un petit écart quand on est allé en 4X4 dans les bois de Versoix ! Parce que à 6 dans une voiture où vous êtes la seule personne du sexe féminin et surtout en JUPE ça le fait pas trop :S ! Donc mes jambes n'ont pas dû attendre longtemps avant de retrouver leur très cher et aimé baggy !
Le plus surprenant dans tout ça, c'est que j'ai apprécié être une vraie fille, féminine, jolie, bien coiffée et qui assume de lire Cosmo' ! C'était sympa, j'pense que je vais continuer ! Dès que je trouve une carte de crédit à chauffer, je file faire les boutiques (ouuuuuhhhhhh je me transformmme!! N'ayez pas peur, c'est toujours moi)! En résumé, j'ai passé une super soirée ! Raclette, champagne, bisous de l'amoureux, conseil pour le canard, lecture des mésaventures de mecs dans Cosmo', aperçu du feu d'artifice depuis son balcon, ballade en ville et pour finir rally dans une forêt effrayante ! Rien de tel pour commencé l'année en beauté !

Le plus étonnant, c'est que après avoir retrouvé ma panoplie de fausse-fausse-fille, c'est en rentrant en bus à une heure précoce (ou tardive selon votre manière de voire le monde), mal coiffé, la tête dans les nuages après avoir peu dormie, pas maquillée et à peine coiffée que je me fais draguer par un énergumène qui avait de grosse ressemblance avec un Omario (B2K) qui aurait perdu ses tresses ! Et le monsieur n'a rien trouvé d'autre que de me demander si la place à côté de moi était libre (le reste du bus était vide), soulée je réponds par la négative, alors il se pause devant moi ( tiens Soso ça t'apprendra à aller t'assoir aux places doubles ) et me demande "Why are you waiting on an angel...?" en me montrant mon sac ( j'y ai inscris le titre de la chanson Waiting on an angel de Ben Harper ), je lui réponds que c'est juste parce que j'aime bien cette chanson (ouah premier mensonge de l'année...), puis on se met a papoter il me dit qu'il ne sait pas où il va...qu'il soit être entrain d'attendre son ange...
En marchant jusqu'à ma porte, je suis perplexe, ce mec me dit quelque chose...bizarre je ne connais pas d'anglophone de ce type.