Memories of a geisha
Samedi dernier, séance cinéma du mois. Au programme Memories of a Geisha. Je ne trouve pas les mots pour continuer mon article, ce film est si surprenant, si beau, si émouvant qu'il faut l'avoir vu pour l'apprécier à sa juste valeur. Et aucune critique cinématographique, aucun article sur ce blog ou ailleurs, ne pourra transmettre justement la beauté de l'image et de l'histoire de ce film.
Autre découverte artistique du week-end : The Little Willies.
Formé par Lee Alexander (bass), Jim Campilongo (electric guitar), Norah Jones (piano, vocals), Richard Julian (guitar, vocals) and Dan Rieser (drums), le premier album des Littles Willies nous fait parfaitement découvrir l'univers des clubs New-Yorkais, dans lesquels ils ont joués pendant plusieurs mois avant de décider d'enregistrer cet album.
En 2003, les musiciens du groupe, qui n'étaient, alors, que de simple amis engagé dans des projets individuel, organisent un show au célèbre Living Room, à New York. Ceci n'était rien de plus qu'une excuse pour passer une soirée à jouer ensemble. A la suite de ce live, ils décidèrent de réitérer l'aventure et de se lancer dans une série de concert pour conclure avec l'enregistrement de leur premier album.
Après avoir pris connaissance de l'album dans sa longueur et sa largeur, je le conseille à tous les fous amoureux du style de Norah Jones, à savoir un savoureux mélange de jazz, blues et de country. Tantôt doux (avec No Place To Fall), tantôt déconneur (avec Lou Reed) il décrit parfaitement l'univers dans lequel le groupe baigne, à savoir; un mélange de jazz et de country. Alors ne vous attendez à rien de prétentieux, leur musique est simple, drôle et belle.
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